Nous réalisons des enquêtes destinées à connaître les besoins des usager·ères, évaluer la satisfaction des locataires ou encore faire ressortir l’expertise d’usages des habitant·es.
Nous organisons des démarches participatives impliquant les usager·ères d’un territoire donné (quartier, commune), afin d’intégrer leurs besoins à un projet d’aménagement ou de transformation.
Nous mettons en œuvre un accompagnement sur mesure apte à faciliter les processus de transformation et rénovation du bâti.
Nous imaginons un concept d’activation de quartier propre à votre contexte et vos objectifs pour mettre en place une vie de quartier favorisant des modes de vie durables et un cadre de vie agréable.
Nous imaginons un concept d’activation de quartier propre à votre contexte et vos objectifs pour mettre en place une vie de quartier favorisant des modes de vie durables et un cadre de vie agréable.
Nous imaginons un concept d’activation de quartier propre à votre contexte et vos objectifs pour mettre en place une vie de quartier favorisant des modes de vie durables et un cadre de vie agréable.
La représentativité d’un sondage dépend du nombre de réponses (i.e. l’échantillon) et du nombre de personnes auxquelles s’adresse le sondage (la population, le voisinage, les locataires). Aussi, la représentativité se décline-t-elle en différents niveaux de confiance.
À titre d’exemple, si 50 personnes sur 100 répondent à un sondage au sujet du réaménagement de la cour intérieure de l’immeuble, la marge d’erreur sera de 10% (pour un niveau de confiance de 95%). Tandis que si 500 locataires sur 1000 répondent à un sondage de satisfaction de leur appartement, la marge d’erreur sera cette fois de 3% (toujours pour un niveau de confiance de 95%).
Dans tous les cas, nous serons là pour vous l’expliquer !
Dans le cadre d’un projet d’aménagement, de construction, de vie de quartier ou autre, les motivations derrière une démarche participative sont multiples. Un de ses buts premiers est souvent d’intégrer des perspectives variées et ainsi d’apporter au projet une meilleure compréhension des besoins des utilisateur·trices. Elle permet également de créer de l’engagement, ainsi que de la transparence et de la confiance entre les différentes parties prenantes. De ce fait, elle réduit le risque de conflits et participe à l’acceptabilité d’un projet. Finalement, il s’agit d’un puissant outil pour trouver des solutions créatives en mobilisant l’intelligence du collectif.
L’expertise d’usage désigne les connaissances approfondies qu’une personne développe par l’expérience directe de son environnement (ville, quartier, appartement, bureau) ou d’un produit. L’expertise d’usage est ainsi contextuelle et est ancrée dans la pratique quotidienne et personnelle des utilisateurs·trices.
On sollicite l’expertise d’usage pour compléter l’expertise technique, basée sur des aspects théoriques et des connaissances professionnelles. En effet, elle permet d’apporter une perspective nouvelle sur la manière avec laquelle un lieu ou un produit est réellement utilisé. Cette confrontation des expertises permet d’améliorer l’objet en question, qu’il s’agisse de la programmation des activités des rez-de-chaussées, d’un espace public ou d’une voie de mobilité douce.
Lorsqu’un projet ne dispose d’aucune flexibilité ou marge de manœuvre, il est déconseillé d’envisager une quelconque démarche participative. En effet, les apports des utilisateur·trices ne pourront être pris en compte, ce qui sera une source de frustration occasionnant un effet négatif sur le projet.
De même, il n’est pas recommandé de réaliser un sondage qui propose des options qui ne sont pas réalisables, ou qui vise à faire une évaluation sans action concrète par la suite.